Salut !
Ça faisait un moment que je n'avais pas trop communiqué, mais ce n'etais pas par fainéantise (oui je vous vois sourire, mais c'est vrai).
Je disait donc que mon activité déboradante avec les orphelins et enfants pauvres de diverses associations et organisations, m'ont empéché de tenir mes promesses de blogger.
Mais voici quelques explications:
Aprés deux semaines colombiennes exquises en compagnie de la belle (que dis-je: Magnifique!) Andrea, je me suis retrouvé livré à moi-même dans "Cartagena de Indias".
Mais grâce à la rencontre avec mes amis et compagnions volontaires, Kim (Sydney-Australia) et Elisa (Roma-Italia) j'ai eu l'occaze de visiter differentes institutions pour les enfants.
Résultat, je suis séduit, non seulement par les enfants, mais aussi par le coté "underground" du travail dans les quartiers trés defavorisés.
Je décide donc de me lancer dans un projet avec les 15 gamins de l'orphelinat "Niños de Papel". Le projet est simple: ayant eu la chance d'avoir un papa d'une trés bonne qualité sur l'échelle des papas, je me suis souvenu que Phillippe (oui on l'appelle comme ça en plus de "Le papa de Crevette") m'a non seulement appris à faire du vélo, mais qu'en plus, il m'a aussi appris à changer un pneu, mettre une rustine et tout et tout !!!!!
Du coup je me suis imaginé dans mon role de papa (oui je sais, pas d'enflamme) et ai pensé "Tiens si je montais des vélos avec ces gamins!!!"
Aprés un étude du projet avec budget et schedule à faire pâlir Valeo, me voila en recherche de fonds....
J'ai un moment pensé à vous faire raquer vous, bande de sans coeur (humour), mais finalement au cours d'une soirée légèrement arrosée j'ai eu la chance de rencontrer Gerard et Nathalie deux hollandais ayant des fonds à distribuer aux projets interressants pour les enfants.
Du coup, ça s'appelle "Bicis de Papel", c'est gratuit pour tout le monde, ça se passe à Cartagena de Indias en Colombie, ça va durer un mois (ou un peu plus) et ça commence vendredi en huit pour une scéance de peinture sur cadres!!!!
Le bonheur, c'est simple comme un sourire.